Chère Madame, Cher Monsieur,
KAMEL EL HARRACHI
A l'instar du tango argentin, du fado portugais, du flamenco ou du blues américain, musiques populaires par excellence, le chaâbi a jailli, au début du XXe siècle dans la basse casbah d'Alger, dont il rythme encore et toujours le quotidien (...) Depuis les années 50, le chaâbi a été régulièrement enrichi par de nombreux artistes et a bénéficié de nouvelles compositions. Outre El Anka, le fondateur, on compte, parmi les plus créatifs, El Hachemi Guerouabi, Amar El Achab et Dahmane El Harrachi (...) Kamel El Harrachi a hérité de son illustre père cette manière unique de jouer de la mandole. Pour son tout premier album "français" intitulé Ghana Fenou (il a chanté son art), il a choisi des morceaux puisés dans le répertoire paternel qu'il essaimera, entouré de quinze musiciens, au cours de son premier concert au Théâtre de la Ville. Rabah Mezouane >EN SAVOIR PLUS |
lundi 31 janvier 2011
Kamel El Harrachi, Hommage à Dahmane El Harrachi
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